Je ne suis pas la continuité de celui que j’étais il y a 20 ans.
Notre culture nous pousse a regretter le passé avec mélancolie et à anticiper le futur avec angoisse et envie.
Je me demande ce que les gens d’ici perçoivent en ouvrant leurs fenêtres.
Si nous n’avons qu’une vie, pourquoi la dilapider en la vivant sur l’autoroute ?
La jeune femme pétillante et pleine de rêves s’est muée en une femme déterminée et engagée.
Quelques tricks de vieux singes.
Il y a une vie au bout de chaque chemin.
L’appât du gain n’est rien pour moi comparé à l’adrénaline de maîtriser une nouvelle technique.
N’oublie pas, en tant qu’indépendant•es notre seul patron, c’est nous.
Aujourd’hui je désire partager mes jours avec une personne qui en aura réellement envie.
Savoir qui l’on est, qui l’on veut devenir.
Un non peut-être tout aussi positif qu’un oui si il te libère d’un poids inutile et te permet de te concentrer sur tes objectifs.
Immobiles, tout nous fait croire que nous sommes impuissants.
Et si nous cessions d’essayer de devenir des robots ?
La violence des institutions n’est pas à prendre à la légère.
Dès que j’entends parler français tout autour de moi je ne me sens plus explorateur, je me sens juste SDF.
C’est vrai quoi, après tout les sentiments c’est un truc de meufs.
La liberté a un prix et il faut l’assumer.
Et si nous pouvions reprendre le contrôle de nos cerveaux et nous passer des géants de la Silicon Valley ?
Nous sommes les documentaristes punks de notre Ă©poque.
Notre liberté de choix et celle de nos enfants sont aujourd’hui remises en cause sans ménagement.
Ne pouvons-nous pas laisser les enfants grandir comme ils l’entendent ?
Mon défi c’est moi-même, je suis mon propre boss de fin.
J’ai déjà la sensation d’être plus proche de celui que je voudrais être.
Nous avons une grande chance de vivre Ă une Ă©poque oĂą toute voix peut-ĂŞtre entendue.
Il faudra acheter Ă nouveau, faire tourner la planche Ă billets.
D’un endroit stimulant, c’était devenu un lieu hostile.
J’ai parfois l’impression que plusieurs personnes vivent en collocation dans mon esprit.
Réveillons notre créativité, l’esprit humain n’a pas de limite pour ceux qui se donnent la peine de ne pas en douter.
Assumer, s’assumer se dé-embrumer avant d’être inhumés.
Heureux soient ceux qui ne voient pas.
Le passé est lourd, le présent peut être tragique mais le futur sera ce que nous ferons de lui.
Chaque seconde est une opportunité pour qui sait la saisir.
Je coche donc je suis.
En vérité je te le dis ça n'est pas si simple.
L’intelligence collective est tout ce qu’il nous reste.
Et si nous pouvions juste re-definir l’homme ?
Quand l’envie de relever des défis devient une maladie.
Sommes-nous libres ou les serviteurs de notre Ă©ducation ?
Ces étranges phénomènes que l’on appelle les émotions finissent par nous bouffer de l’intérieur.
Ou comment il n’est jamais trop tard pour commencer à créer.
Ou la fois à j'ai créé le business photo de mes rêves.
Peu importe la destination, l’objectif c’est le chemin.
Si notre espèce a été capable de créer le smartphone nous sommes capables de reprendre le contrôle de notre attention.
Et si le bonheur n’était pas un état permanent. Et si celui promis dans ce lointain futur n’arrivait jamais ?
Du chaos peut émerger une forme de sérénité qui apporte apaisement et clarté
Les habitudes font de nous ce que nous sommes.
Nous apprenons de tous, mĂŞme (et surtout) des plus petites.
S’inquiéter de ce que l’on va laisser derrière nous c’est peut-être un premier pas vers l’âge adulte.